Dans un contexte où plus de la moitié des Québécois craignent de ne pas pouvoir quitter le marché du travail à l’âge de la retraite, Ghislain Larochelle, chroniqueur en immobilier, affirme que l’immobilier peut constituer un placement de choix afin de s’y préparer.
Selon lui, le simple fait de posséder une maison est une bonne manière d’accumuler un bon patrimoine, puisque cela constitue une forme d’épargne forcée.
« En remboursant votre hypothèque, vous accumulez de l’équité qui pourra éventuellement être réutilisée, » explique-t-il.
De plus, il n’y aurait pas d’âge maximum pour investir en immobilier : « peu importe l’âge, il est toujours possible d’accumuler de l’équité. »
Différentes options pour investir
La première option, qui est aussi la plus populaire, est de posséder sa propre maison ou son propre logement. Une autre option est d’investir dans l’acquisition d’un immeuble à revenu, tel un petit plex (moins de 5 logements), dans un plus gros immeuble ou encore dans un chalet locatif. Ce type d’investissement permet de se bâtir un revenu passif qui pourra demeurer tout au long de la retraite.
Les avantages de l’immobilier
· Le phénomène d’effet levier multiplie les rendements.
· La valeur des immeubles tend généralement à s’accroitre avec les années
· Dans le cas d’un immeuble locatif, ce sont les loyers des locataires qui remboursent l’hypothèque.
· Un autre avantage des immeubles locatif est que le propriétaire peut en retirer un revenu mensuel.
Le chiffre de la semaine
59 %
Selon un sondage publié par la banque TD en janvier 2019, c’est la proportion des Québécois qui affirment prévoir travailler passé l’âge de la retraite, faute d’économies pour quitter le marché du travail.