Plus d'expérience, plus de succès.
01 nov. 2021
La dernière année a appris qu'on peut réaliser un bon nombre de choses soi-même ; le pain maison, les rénos DIY et même l’enseignement parental. «Cette nouvelle réalité peut parfois donner envie aux vendeurs et aux acheteurs de jouer à l’autodidacte une fois de plus pour leur projet immobilier, mais il y a des domaines où il ne vaut mieux pas», estime Manuel Ferrarini, vice-président directeur création et réalisation chez Tam-Tam\TBWA.
La pandémie est venue bousculer les besoins immobiliers de nombreux Québécois, créant ainsi un marché très émotif et même un déséquilibre entre l’offre et la demande. Le tout, jumelé à des taux hypothécaires les plus bas depuis les dernières décennies, ce qui a eu comme effet de créer un marché de surenchère.
«Une demande jamais vue, un inventaire trop faible, de quoi provoquer, en immobilier, une tempête parfaite. Heureusement, les acheteurs et vendeurs ont pu se fier à l’expertise et à la collaboration des 13 000 courtiers immobiliers à travers le Québec», explique Patrice St-Amour, directeur communications et marketing pour l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec.
